La capitale magique de l’Europe , comme le disait André Breton, acette capacité de transporter celui qui la découvre au sommet d’une exaltation romantique. Sautez à bord d'une croisière fluviale sur l'Elbe et partez à la découverte de la belle Praha. C’est une ville pleine de magie, non seulement par la légendaire présence des alchimistes au XVIe siècle, mais aussi par la trace de plusieurs cultures qui se sont entremêlées en ses murs.
Blottie dans les méandres de la Vltava, tour à tour ville royale, cité impériale, bourgade provinciale assoupie puis capitale renaissante d’un État moderne, Prague s’est façonnée une image de « mère des villes », accumulant en couches successives un patrimoine architectural et artistique incomparable.
Les musiques de Mozart, de Dvořák et de Smetana hantent les lieux de promenade de Prague. Sur fond de verres qui s’entrechoquent, les cafés se souviennent encore des débats échevelés des artistes et intellectuels qui renouent ardemment avec leur passé confisqué par les voisins plus puissants. L’ombre du Golem se profile, le soir venu, sur les murs de la ville juive, et de son cimetière. Si la silhouette de Kafka hante encore les escaliers qui montent au château de Prague, les fantômes inquiétants du stalinisme ont heureusement déserté les couloirs du palais présidentiel.
La capitale magique de l’Europe , comme le disait André Breton, acette capacité de transporter celui qui la découvre au sommet d’une exaltation romantique. Sautez à bord d'une croisière fluviale sur l'Elbe et partez à la découverte de la belle Praha. C’est une ville pleine de magie, non seulement par la légendaire présence des alchimistes au XVIe siècle, mais aussi par la trace de plusieurs cultures qui se sont entremêlées en ses murs.
Blottie dans les méandres de la Vltava, tour à tour ville royale, cité impériale, bourgade provinciale assoupie puis capitale renaissante d’un État moderne, Prague s’est façonnée une image de « mère des villes », accumulant en couches successives un patrimoine architectural et artistique incomparable.
Les musiques de Mozart, de Dvořák et de Smetana hantent les lieux de promenade de Prague. Sur fond de verres qui s’entrechoquent, les cafés se souviennent encore des débats échevelés des artistes et intellectuels qui renouent ardemment avec leur passé confisqué par les voisins plus puissants. L’ombre du Golem se profile, le soir venu, sur les murs de la ville juive, et de son cimetière. Si la silhouette de Kafka hante encore les escaliers qui montent au château de Prague, les fantômes inquiétants du stalinisme ont heureusement déserté les couloirs du palais présidentiel.